lundi 22 novembre 2010

L'Olvig se tape l'incruste...

... dans ses films favoris !
C'est un peu mon passe-temps du moment... Faire de la modif de photo pour prendre la place de certains de mes héros...
Alors, c'est plus ou moins bien réussi, pas forcément intéressant mais bon... C'est un truc qui m'éclate ces jours-ci, du coup, ben, je vous en parle...
Certains l'aiment chaud...
surtout quand je pique la place de Jack Lemon !

C'est mon rêve ultime :
être Gene Kelly, ne serait-ce qu'une minute !

Ma Gueule sur Bob Hoskins face à Roger Rabbit,
c'est bluffant, non ?

Là, y a aussi ma Pupuce, mais...
Chut ! Faut pas le dire...

Vous en pensez quoi ?

dimanche 21 novembre 2010

Les pieds dans l'Olvig 13 - Nana's power : séance de rattrapage ciné rose bonbon !

Quand on me rencontre, il n'est pas forcément évident que je puisse avoir un gros côté midinette, et pourtant...
Ces dernier temps, ayant eu pas mal de dispos pour ma petite personne, je me suis fait une grosse session master class de films encore pas vu et que j'aurai du voir depuis belle lurette !
Au programme l'histoire d'une muse, du conte de fée surréaliste et de la nouvelle vague musicale...

D'abord, petite découverte, un film passé un peu passé à la trappe à sa sortie, en 2008, Les Vies privées de Pippa Lee, de Rebecca Miller. Film un peu discret puisque l'histoire n'a rien pour spécialement emballer les foules : Une femme à la petite cinquantaine tout en charme, épouse d'un mécène professionnel, fait un petit bilan de sa vie. Cette femme à l'histoire tellement ordinaire mais malgré tout formidable apparaît aux yeux du monde tel un mystère et s'avère pourtant être une femme moderne à la vie complexe, une muse... un de ces monstres ordinaires que j'affectionne particulièrement. Tout bêtement, cette histoire n'a rien d'épatant pour un type de mon acabit. Ce film à l'apparence et le parfum d'un roman Arlequin ne semblait pas être fait pour la masse d'1m90 pour 110kg que je suis... heureusement que la saveur en est plus aguicheuse. A quoi tient-elle, cette saveur ? A sa réalisation ? Pas vraiment... C'est une réalisation hyper classique sans gros effets de caméra, sans héroïsme niveau photo, sans extravagance musicale. Non, en somme l'essentiel vient des comédiens. La fameuse Pippa Lee est interprétée par Robin Wright (anciennement Penn) incroyablement séduisante et fraîche. C'est un cocktail fort et fruité sur pattes, cette nana ! J'en suis encore tout ébaubi d'ivresse. Le reste de la distrib est tenue de main de maîtres : Julianne Moore, toujours impeccable, Monica Belucci, qui pour une fois sert bien son personnage, Wynona Rider, the return pour du bon, Maria Bello, super comme à chaque fois, Keanu Reeves suffisamment bon pour ne pas gâcher le film et Mister Alan Arkin que je prends un malin plaisir à redécouvrir à chaque fois depuis Little Miss Sunshine (le grand-père chorégraphe, c'était lui !). Malgré toute mes craintes, ce fut un bon petit moment de visionnage grâce à toute c'te clique...

Et puis, pour le coup, prix de gros, c'est la grosse semaine du blanc, découverte (enfin !) de l'œuvre de Monsieur Jacques Demy... Il m'en aura fallu du temps pour y venir. Mais étant amateur de Jazz et de comédie musicale, je ne pouvais pas faire l'impasse plus longtemps.
Et vlan ! Deux classiques du bonhomme à la suite. Peau d'âne et Les Parapluies de Cherbourg. Alors c'est clair que pour ceux qui ne peuvent pas blairer les films musicaux, à éviter d'office. Mais pour ceux, comme moi, qui ne rechigne pas devant la chansonnette, c'est chouettos !
Je ne vais pas m'efforcer de faire une critique de ces films, ce serait simplement con (le mot est tellement juste que je ne vais pas m'abaisser à y mettre les formes !) Je vais bêtement parler de mon ressenti...
Peau d'âne est très fifille côté histoire. Un poil trop pour ma pomme. Mais c'est le genre qui l'impose : c'est un conte de fée ! Une fois la chose admise, on adhère et on ferme sa boîte à camembert. C'est coloré, bariolé, guilleret : idéal pour la marmaille. Mais en plus, par pas mal d'aspect, c'est un film surréaliste. Pas mal d'effets de style, des anachronismes plutôt drôles, des petits côtés absurdes et désuets charmants... j'ai plongé ! Tel le môme qui sommeille encore en moi, j'ai regardé ce film avec des grands yeux et un petit sourire en coin... J'en demandai ni plus ni moins.
Les Parapluies... par contre wouah ! Une paire de baffes galantes. C'est un film désarmant. Pas un moment de parlotte, que du dialogue chanté, c'est assez perturbant quand on n'est pas préparé. Mais en plus, c'est un sujet absolument original pour une comédie musicale. En pleine Guerre d'Algérie, une histoire d'amour se fait et se défait... On y parle de la vie banale. De la vie moderne. On est plongé en pleine Nouvelle Vague (au milieu de ces zigotos de Godard, Truffaut et consort), entre histoire personnelle, docu et fiction quasi théâtrale... Une vraie révélation. En plus, les deux héros sont vraiment beaux. Deneuve dans ses jeunes années, je fonds ! Nino Castelnuovo, que je ne connaissais pas, a un charme qui dépasse de loin ce saligaud de Delon. Autant vous dire que je me sens un peu poussé pour aller voir d'autres produits de ce cinéaste.

Finalement, à y regarder de près, la montagne que je suis est peut-être plus girly que prévu... Dois-je en être fier pour autant ?... Je vous laisse libre de juger.

mardi 16 novembre 2010

L'Olvig se la joue slameur !

N'avançant que péniblement sur les histoires que je veux vous raconter mais néanmoins fermement convaincu que je dois raconter une 'tiote histoire en ce début de semaine, je prends mon courage très fermement serré entre mes deux paluches potelées et j'ose vous lâcher ce truc-là !

Voilà quelques semaines que je pointe mon nez dans plusieurs milieux créatifs divers et variés, en outre, j'ai commencé à m'intéresser à Slam Tribu, asso super active sur la ville de Reims, mais pas que... Le Slam, voilà une forme écrite et scénique que je n'avais pas encore tenté. Alors après quelques essais, cahin caha, un Atelier vraiment sympa et productif dirigé(pour cette fois-là) par M'dame Gipsy, Présidente de Slam Tribu, quelques menus traficotages du crayon de mon côté... Je sers les dents, je croise les doigts... bref, je stresse comme un imbécile et je me lance pour ma première scène Slam... C'était la semaine dernière... Apparemment, ça a plu...
Etant en pénurie momentanée d'autres choses à vous faire écouter, je vous laisse découvrir ce Slam, prem's de ma p'tite vie. Un conte idiot sur un jeune gars qui veut faire son bonhomme mais qui tombe sur une nana bien décidée à mener la danse...

Enjoy !

tilidom file storage  

vendredi 12 novembre 2010

L'Olvig's addictions ! - Keren Ann


Envie de parler de femme, aujourd'hui. Y a des fois comme ça... Alors que la soirée débute pour moi avec un frisson de lassitude et de frayeur modérée (la faute au vent terrible du dehors) et que ma cervelle flotte légèrement dans l'air grâce à la main fine et doucereuse d'un Chardonnay bon marché, je ne pense qu'à une chose, à une voix cristalline, susurrée, une voix de bossa nova... Couleur de nuit café crème... amélioré.
Keren Ann, d'abord c'est un souvenir. Même si on ne la connait pas, on a l'impression de se souvenir d'elle. C'est la mélodie des chansonnettes qui nous ouvraient les bras de Morphée. C'est le goût des Spritz de Delacre plongés dans la tisane du dimanche soir. C'est un parfum d'amande et de cannelle et du vieux papier des vieux livres de la vieille étagère au fond de la maison. C'est un petit rien qu'on aime (et qu'on a envie de) retrouver.
Keren Ann, pour de vrai, porte un nom de famille (Zeidel), fait son chemin (entre Israël, lesPays-Bas, la France, Le Royaume-Uni, les États-Unis), rencontre des gens (Benjamin Biolay, Vincent Delerm, Dominique A, Emmanuelle Seigner, Henri Salvador...) et fredonne de temps à autres, là où le vent la porte.
Keren Ann, à l'intérieur d'un petit deux pièces de ma caboche, c'est un air qui souffle à mes oreilles depuis mon arrivée dans cette ville qui m'a fait homme. C'est comme ma Tinkerbell perso, une lueur qui n'arrive pas à se décider entre pénombre et plein phare. C'est un métronome paumé dans ses tempo, qui joue aux cartes avec le Rock, la Pop, la Folk et qui s'amuse à faire croire qu'il se fait une bataille alors que c'est un bridge. Suffit qu'elle se fasse entendre, qu'elle passe par une platine ou mon media player, mine de rien, le nez en l'air, pour que je me sente bien.
Envie de parler de femme, ce soir d'alcool parce que c'est toujours bon d'avoir une femme en tête. Son amoureuse, bien sûr... Sa mère, si on veut... Mais l'avoir en tête, elle, c'est comme suçoter un petit verre de rhum tiède. Elle enivre et immerge la vie dans une poche de taffetas.

La Biographie de Luka Philipsen (son premier album) m'a fait voir la vie dans une verrière fraîche et limpide en plein automne. La Disparition (le deuz) m'a mis un goût de chocolat noir dans la gorge. Not going anywhere m'a embaumé les nasaux de violette et de lavandin. Nolita m'a plongé la gueule dans la marmelade d'orange. Keren Ann (le der) a simplement joué avec mon cœur. Et v'là que j'apprends qu'un nouveau zéphyr va soufflé sur moi d'ici février prochain... J'en prépare mon chèche d'avance.

Keren Ann est une de ces artistes dont certains regrettent la discrétion, d'autres saluent la culture et le talent. Concernant ma petite personne, Keren Ann, je ne l'admire pas, je ne la conchie pas non plus. Keren Ann, bien malgré elle, elle fait partie de moi. C'est mon petit temps de nonchalance journalière. C'est mon faux sourire en coin. Pas ce que je préfère ni un complexe. Juste là parce qu'elle est un peu de moi.

Laissez ce petit vent tiède souffler sur vous, si vous le souhaitez : My Name is trouble, premier extrait de l'album à venir.

mercredi 10 novembre 2010

Dans le petit monde de l'Olvig - L'Intégral Robinson Crusoë à la Comédie de Reims.

Vous me direz que je suis monomaniaque mais je reste sur mon samedi 6 novembre, aujourd'hui encore, pour vous faire part d'une drôle d'expérience vécue à la Comédie de Reims. Je ne sais pas si le but de Ludovic Lagarde, directeur artistique de la scène rémoise depuis l'année dernière, était de combler un temps mort de ce début de saison théâtrale où bien s'il souhaitait juste faire entrer le monde dans son sacro-saint lieu de spectacle mais l'évènement à fait son petit effet. Je parle de la Lecture Intégrale de Robinson Crusoë, le célèbre texte de Daniel Defoe organisée de façon très originale.
L'Igloo d'un lecteur Robinsonnisé...
Pour ceux qui ne connaissent pas ce lieu, il faut savoir que la Comédie de Reims est un établissement de belle envergure, comprenant une grande salle, une petite, un hall gigantesque, un bar, un studio (généralement réservé à quelques petites structures de spectacle) ainsi que des bureaux et d'autres choses que je ne maîtrise pas du simple fait de n'être qu'un spectateur. Le tout est d'une architecture moderne, design, impressionnante pour qui n'est pas coutumier du genre ! Afin de nous offrir le récit de Defoe, cinq lecteurs (tous comédiens du collectif artistique de la Comédie) ont été répartis en trois lieux mais leur voix résonnaient où que nous allions dans le théâtre. Un grosse structure qui s'explique par le fait que plusieurs îlots perdus étaient installés en cet mini planète qu'est le théâtre et qui permettaient de vivre une expérience en forme de petit bout de vacances. Dans la grande salle, des projections de vidéos inspirant l'évasion, le dépaysement, l'aventure. A peine sorti, une sorte d'igloo de survie apparemment habité d'un ou d'une comédienne pose le lecteur en échoué et le spectateur en voyeur. En se dirigeant vers le bar, le spectateur se retrouvait irrémédiablement devant quelques grignotages biologiques mais aussi devant l'escalier qui monte au dernier point de lecture, le studio, organisé tel un salon de relaxation de bord de mer où étaient réunis transats et masseuses aux doux sourires. Enfin, au bar, le visiteur pouvait dégusté des smoothies aux saveurs exotiques et deux petits plats goûteuses.
Voilà pour la description... Après...

Un air de vacances...
La lecture était-elle agréable ? Oui, mais j'avoue qu'une telle lecture est à peine plus utile qu'une musique d'ascenseur ou un disque d'électro gentillette pour apéritif dînatoire chez des amis un brun smarts. Les voix de Valérie Dashwood, Camille Panonacle, Laurent Pointrenaux, Julien Storini et Guillaume Girard (une révélation pour moi, en ce qui concerne ce dernier) sont très agréables, apaisantes, claires et parfois même envoutantes, mais sur la longueur on décroche. Du coup, ces voix résonnaient davantage comme une petite mélodie de boîte à musique, plus que comme une histoire... Mais ce que j'ai adoré, ce sont ces micro-moments de connivences avec les comédiens, en bonne midinette que je suis !

Cela m'a-t-il donné l'envie de relire Defoe ? Pas le moins du monde. Ca ne m'a donné ni le goût de découvrir le reste de son Oeuvre, ni de prolonger la rêverie. Je n'ai pas eu de plaisir intellectuel mais un réel plaisir sensoriel. J'avoue m'être fait la réflexion que ce texte était vraiment didactique, instructif mais que le côté aventure, ben !... Bof ! Passe pas !

La plage de relaxation
Le concept m'a-t-il plu ? Plutôt... Les massages crâniens étaient délectables, les diverses assises confortables, la grande salle plongée dans une pénombre agréable m'a donné l'impression d'être un petit soldat de plomb au fond d'un tiroir molletonné (j'adore l'idée !), les crevettes aux avocats, cacahuète, tomates concassées et petits goût citronné agrémenté d'un verre plein de mangue, de banane ou de cannelle étaient succulents...
Aurais-je envie de revivre un tel évènement ? Ben, mouais, mais j'aimerai une lecture qui me prenne plus aux tripes, un texte qui me touche davantage.

Le recommanderais-je ? Heu ! Pas forcément ! Bien que très surprenant et appréciable, ça me paraît encore un peu élitiste. Preuve en est l'ennui affichés des enfants présents, emmenés par des parents convaincus que Robinson Crusoë était un livre éminemment passionnant... Là, je dis non ! le roman de Defoe est super chaud voire chiant pour des marmots avant 8 ans...

Tout ce que je me permets de souligner, c'est que de telles initiatives sont vraiment rares, osées et inventives (gratuites par dessus le marché, en dehors des restaurations) de la part d'un Théâtre. Monsieur Lagarde, très sincèrement et du fond du coeur, merci du cadeau !!!

lundi 8 novembre 2010

Dans le petit monde de l'Olvig – Meltin'

Après une semaine bien grise et pluvieuse qui ne m'a guère encouragé à ouvrir ma grande usine à bêtise, me revoilà cette semaine, un poil enrhumé mais enthousiasmé comme jamais.

En effet, enfin décidé à sortir de ma grotte, je me suis rendu samedi dernier à la MJC Jean Jaurès, alias "Le Flambeau", en ma bonne Cité des Sacres... Pourquoi donc t'est-ce ? Pour faire la connaissance de Meltin' ! Et bon sang de bois, en voilà une belle de rencontre ! Sur scène, sept petits mecs d'une vingtaine d'années aux trognes d'arsouilles qui nous délivrent un flot continu d'une zik super réjouissante. Dans nos têtes, un bouillonnement agréable qui nous oblige presque à nous trémousser en rythme pour éviter la calcination de l'envie.
Dans le but de fêter et présenter leur premier bébé, un album intitulé Molécule, Meltin' a porté haut la voix pour se faire entendre et nous a gentiment ouvert les portes de son univers au métissage musical subtil et jubilatoire. Ces sept types jonglent avec les genres avec une aisance presque déconcertante. Sur un fond de reggae bien connu, ils nous fichent une lampée de Dub, saupoudrent une pincée de Trip-hop, jettent à la va-vite une demie cuillère de Funk, ne lésinent pas avec une bonne grosse dose de Jazz façon belles années Miles Davis, et ajoutent encore quelques pincées par-ci par-là de choses et de machins-trucs... Ça pourrait faire une mixture bizarre et indigeste... et ben, carrément pas ! Les saloupiots parviennent à faire un tout cohérent ô combien écoutable (qu'ils appellent Chimik Reggae) avec ce qui aurait pu s'avérer une cacophonie grotesque ! Ca vous colle un de ces smiles, mes bons amis, si vous saviez !
MELTIN' ...
c'est Thibaud, Odilon, Antoine, Julien, Romain, Valentin et Piotr...
et c'est de la musique en forme de potion magique !
Faisant une part de roi à leur seule musique, ils n'en délaissent pas moins des textes qui ont une saveur assez agréable abordant des thèmes certes communs pour un groupe reggae (une révolte « mesurée » face à l'ordre établi, un petit fond d'écologie de bon aloi, un chouilla d'exotisme et d'envie de voyage, un regard sur le quotidien, l'espoir en l'être humain...) mais néanmoins plutôt bien exploités. Une plume qui ne se la pète pas et qui pourtant en aurait les moyens. Des textes vraiment bien soutenus par un chanteur à la voix super claire et pas dégueu. Ce qui fait que ça résonne un peu comme un instrument de l'orchestre qui joue à l'unisson avec ses potos. De quoi mettre à peu près tout le monde d'accord !
Du haut de mes pas encore trente ans, en entrant dans la salle de spectacle, je dois bien l'avouer, je craignais un certain amateurisme chez ce que j'appelle d'ordinaire avec un sourire en coin « ces jeunes cons ». Hey ! Ben, je me suis pris une grosse torgnole ! On décèle un professionnalisme qui impose le respect. Tous les Zikos sont incroyables. C'est droit, carré, lêché. On se croirait face à des vieux routards du métier tant ils maîtrisent leur outil. De tout le concert, quasi pas de temps mort. On sent du plaisir quand ils jouent. On perçoit que l'harmonie n'est pas feinte et que la générosité transpire de partout. On voit que ces gars s'éclatent à faire leur musique et à la partager...
Vous l'aurez compris, Meltin' m'a totalement convaincu et je souhaite à tout le monde de les voir sur scène au moins une fois et je vous encourage (pour ne pas dire que je vous y contrains) à vous procurer leur album.
N.B. : Meltin' fait des trucs géniaux, mais notez aussi le taf super intègre et gigantesque de Velours Asso sans qui ce groupe n'en serait peut-être pas là ! A tout ces gens, merci d'être là pour ça !